Disons que son grotesque visage et sa posture voûtée peine à produire l'effet escompté de nos jours; on ne peut donc qu'être intrigué par le remake de Robert Eggers et ce qu'il va conserver ou non du monstre d'origine.
IT’S ALIVE! James Whale’s FRANKENSTEIN starring Boris Karloff and Colin Clive opened in theaters OTD in 1931.
Ahah, il est vrai que si le comte fonctionne très bien quand il reste dans l'ombre, c'est un peu différent dès qu'il se montre en pleine lumière... il perd alors totalement la bestialité qu'Albin Grau a tenté d'insuffler dans son design :)
Nosferatu 1922 : ses décors expressionnistes, sa cinématographie envoûtante, ses cadrages qui marquent à vie. Et son comte Orlock dont chaque apparition fait frissonner et... Un peu rigoler, faut avouer. Hommage🖤 #nosferatu#vampire#murnau#expressionnisme#dracula
La série supervisée par Chris Black et Matt Fraction est loin de cette artificialité, se plaçant à hauteur d'hommes pour mieux explorer les secrets de l'organisation Monarch et l'apparition des kaijus.
J'ai visionné les deux premiers épisodes de Monarch: Legacy of Monsters, et je pense que c'est ce qui pouvait arriver de mieux au Monsterverse après King of Monsters et Godzilla VS Kong qui proposaient des personnages humains inintéressants et inutiles.
En même temps, ce one-shot se contentait de faire rencontrer différents Batman alternatifs aux perso de Planetary; c'était très plaisant et très beau, mais ça ne racontait pas grand chose... je pense qu'ici, l'ambition est différente (d'ailleurs, ça ne sera jamais comparable graphiquement...).
En tous cas, ce premier épisode plonge vraiment dans la mythologie de The Authority/Planetary; je suis curieux de voir comment ce titre va intégrer ces idées à l'univers DC maintenant :)