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LJlesjours.frOct 3, 2024 5:00pm

Cette circonscription, «Les Jours» la connaissent bien: entre les deux tours des législatives, Pierre Bafoil y avait réalisé un premier reportage. À l’époque, les électeurs RN étaient bien incapables de citer le nom du candidat investi… Ce qui n’a pas empêché sa victoire.

NAnouaviquipedia.bsky.socialOct 3, 2024 5:00pm

Eleccions legislatives búlgares d'octubre de 2024 https://ca.wikipedia.org/wiki/Eleccions_legislatives_b%C3%BAlgares_d%27octubre_de_2024 DrGiRu: amplio {{infotaula eleccions}} Les '''eleccions legislatives búlgares de 2024''' es celebraran el [[27 d'octubre]] de [[2024]] coincidint amb les …

BGbroenguiraldson.bsky.socialOct 3, 2024 4:55pm

Hé déjà on en a enlevé à la mairie 🤭 (mais c'est vrai pas toutes, il y a encore de belles saloperies élues pendant les législatives)

SFsmoothiefugero.bsky.socialOct 3, 2024 3:37pm

Ce qui est amusant c'est qu'avec ce rapport on constate que LFI est un garant de l'ordre républicain Et c'est pas une découverte pour beaucoup Avec la dissolution et les législatives quasi aucun appel à mobilisation Ca fait quand même depuis bientôt 3 mois

MFwittigmaddy.bsky.socialOct 3, 2024 3:03pm

rebellyon.info/Quand-lutter...

Quand lutter contre l'extrême droite est un prétexte pour lutter contre l'extrême gauche

Début juin, la Commission d'enquête parlemantaire sur la lutte contre les groupuscules d'extrême droite en France présidée par la députée France Insoumise Muriel Ressiguier rendait son rapport (...)

JBjacquesbriet.bsky.socialOct 3, 2024 12:44pm

Exemple : le document de l'administration wallonne pour donner une procuration à un tiers pour les élections locales fait 7 pages et il faut y annexer un autre document pour l'utiliser. Le document de l'administration correspondant fédérale pour les législatives tenait sur 1 seule page, pas d'annexe

UViamuppsala.bsky.socialOct 3, 2024 10:08am

Venez on élit un président de gauche, on fait les législatives, on fait genre y a la droite en tête et ensuite on prend un premier ministre insoumis. La droite saurait plus où se mettre.Venez on élit un président de gauche, on fait les législatives, on fait genre y a la droite en tête et ensuite on prend un premier ministre insoumis. La droite saurait plus où se mettre.

Bbrizzio.bsky.socialOct 2, 2024 6:00pm

Vous croyez qu'il va finir par comprendre qu'il n'a pas gagné les dernières élections législatives ?

LMlemonde.frOct 2, 2024 4:20pm

En direct : Emmanuel Macron approuve une taxation « exceptionnelle » pour les grandes entreprises, mais elle doit être « limitée »

Lors d’un forum à Berlin au lendemain de la déclaration de politique générale de Michel Barnier, le chef de l’Etat a estimé qu’une « taxation exceptionnelle sur les sociétés », telle qu’annoncée par le gouvernement, était un fait « bien compris par les…

EPepoc.bsky.socialOct 2, 2024 4:43pm

🇨🇵🇪🇺 Escroquerie de frais de campagne des législatives 2012 : Claude Guéant, ancien ministre de l’Intérieur, relaxé en appel www.election-politique.com/index.php?di...#VuDansLaPresse #newspaper #Politique #politics #International #France #ClaudeGueant #justice

CXspartakusxxi.bsky.socialOct 2, 2024 3:56pm

Un ouvrage important pour qui s’intéresse aux questions politiques : La Droitisation de la France : mythe et réalité. Comment citoyens et électeurs divergent (@vtiberj, PUF). On en rend compte en cinq vignettes, sans prétendre à l’exhaustivité, mais pour inciter à le lire.

1/5 Les enjeux
L’idée d’une droitisation de la France est souvent mise en avant pour demander à la gauche d’en rabattre, aussi bien sur le plan des partis (ambition à gouverner), que sur le plan des idées. En raison de cette droitisation, il faudrait abandonner toute idée de conquêtes sociales et accepter avec résignation le rouleau compresseur néo-libéral.
Vincent Tiberj conteste cette droitisation.
Spécialiste de la sociologie électorale, l’auteur maîtrise son sujet et on lui sait gré d’avoir intégré jusqu’aux événements les plus récents dans son ouvrage (législatives de juin 2024).

2/5 Une population de « gauche »
Tiberj commence par dresser le portrait de la population française, à partir des enquêtes les plus solides dont nous disposons et en mettant de côté les sondages commandés par les chaînes de télévision [pages intéressantes sur ces questions méthodologiques].
Même si, évidemment, la situation actuelle est loin d’être idéale, les Français apparaissent comme étant plus tolérants que par le passé sur les questions de sexualité comme sur leur rapport aux « minorités » culturelles. En outre, la polarisation sur les questions sociales et économiques reste structurante. Elle se maintient, après une chute dans les années 1970. Majoritairement, par exemple, ouvriers et employés restent attachés aux « valeurs socio-économiques ».
En toute logique, la gauche devrait donc progresser dans les urnes. Ce n’est pas le cas : pourquoi ?

3/5 Une droitisation par le haut
Tiberj constate un glissement à droite du débat public, avec l’essor des chaînes du câble/TNT. On regrette ici que les données quantitatives ne soient pas aussi solides que dans le premier chapitre. Mais il est difficile de contester cette assertion.
Pour autant, comme le relève l’auteur, il existe une relative résistance de la population à la droitisation des médias. On observe régulièrement une disjonction entre la majorité des éditorialistes et l’état du pays. Les éléments de langage sont loin de ruisseler parmi les citoyens. La droitisation du « haut » ne gagne pas le « bas ».
Si la droitisation des médias n’a qu’un impact limité, d’où vient le basculement électoral constaté depuis 2013 ?

4/5 Une disjonction citoyens/électeurs
Tiberj étudie toute une série de pistes et d’indicateurs dont il est difficile de rendre compte en si peu de place (effets de génération, de diplôme...). Pour synthétiser, si les citoyens restent autant de gauche qu’avant sur les questions sociales et économiques et le sont plus qu’avant sur les questions de société, ce n’est pas le cas des électeurs, en raison de différentes formes d’abstention, certaines étant parfaitement conscientes et argumentées (« grande démission »). Continuent à voter les électeurs les plus à droite, donnant des résultats électoraux qui ne sont pas représentatifs de la société.
Mais il faut aussi mettre en avant le jeu des partis qui, par intérêt, privilégient certains débats plutôt que d’autres et le fait que de plus en plus d’électeurs votent non par conviction, mais pour éviter le pire. Le problème ne serait donc pas tant du côté de la demande (citoyens) que de l’offre (partis).

Aafropages.bsky.socialOct 2, 2024 2:58pm

Législatives au Sénégal : Macky Sall et le parti d’Abdoulaye Wade à l’assaut de l'Assemblée nationale [Linfodrome] #Afropages https://twp.ai/1DTCFp