Donc oui, globalement je ne suis pas insensible aux paroles, ni aux artistes. Jâaime moins Noir DĂ©sir depuis que Bertrand Cantat sâest comportĂ© comme un meurtrier, je refuse de voir un film de Polanski parce que câest un sale type, et jâentrevois la problĂ©matique dans la chanson de Radiohead.
Le film veut raconter quelque chose mais ne sait pas quoi. Il aurait gagné à prendre parti soit de la pure contemplation (parfaite pour la thématique du film), ou un véritable engagement psychologique, une progression dans le désir sexuel de l'héroïne.
Les + : un regard fĂ©minin sur le corps et le dĂ©sir fĂ©minin est bien plus intĂ©ressant. Les - : une histoire pas aboutie, 0 psychologie, Ă peine une esquisse de celle d'Emmanuelle, des scĂšnes de sexe bien trop courtes et pas mĂȘme centrales au film (un comble).
Pardon mais elle est bien dans la complainte du gars malheureux, avec zéro attention à ce que ça pourrait donner cÎté meuf. Le seul perso de la chanson c'est le gars, la meuf c'est juste l'objet de son désir.
"OpĂ©ra bouffi, nĂ©opĂ©plum pseudo-philosophique, farce pontifiante", le ratage de #Megalopoliswww.nouvelobs.com/cinema/20240... "On prĂ©fĂ©rera se souvenir de ses quelques visions inspirĂ©es, du dĂ©sir intact de lâimmense metteur en scĂšne dâ«Apocalypse Now» dâexpĂ©rimenter." Vu le film hier, 100% d'accord
Drame dâanticipation par Francis Ford Coppola, avec Adam Driver, Giancarlo Esposito, Nathalie Emmanuel (Etats-Unis, 2h18). En salle le 25Â septembre â â âââ
Vu en avant-premiĂšre a Montreuil, All We Imagine As Light de Payal Kapadia est une merveille. Trois femmes Ă Mumbay, toutes trois aux prises avec leur destinĂ©e, leur religion et leur rang social. Un dĂ©sir de libertĂ© qui les mĂšne jusquâĂ la mer et Ă de magnifiques sĂ©quences.
Je pense que le chanson Rimini par Les Wampas est comme lâequivalent français de Weezer. Aussi, je voudrais dire que jâaimes le chanson Comme Elle Vient par Noir DĂ©sir en dĂ©pit du fait que le chanteur est un cretin.
C'est une hypothĂšse osĂ©e. Tous les gens Ă peu prĂšs sĂ©rieux considĂšrent que le maya est une langue univoque. Il ne fallait pas commettre l'impair d'exprimer le dĂ©sir de se livrer Ă cĆur ouvert sous peine de voir ses propos pris au sens littĂ©ral.