Il n’y a pas à dire : les nappes phréatiques se portent bien cette année (ce qui rattrape grandement l’année précédente) même si les Pyrénées Orientales restent fragiles.
Il vaut mieux maintenir un réchauffement climatique à +1,5 degrés plutôt que de s’amuser à envisager un +4 degrés. Nous ne connaissons pas toutes les conséquences du réchauffement.
Le réchauffement des océans est peut être une bonne nouvelle pour le confort de nos vacances mais absolument pas pour notre avenir. Un seul moyen : diminuer sans attente le taux de CO2 dans l’atmosphère. Chaque dixième de degrés compte.
L’acidification est aussi une catastrophe pour les écosystèmes marins car elle empêche la formation du calcaire. Le calcaire est essentiel à la composition des coquilles notamment des coccolitophores - base de la chaîne alimentaire de bcp de poissons.
- les océans se réchauffent ce qui diminuent sa capacité d’absorption du CO2 - les océans ont explosé leur taux d’absorption du CO2 depuis l’ère pré industriel provoquant la diminution de son pH et donc son acidification. - l’acidification diminue sa capacité d’absorption du CO2. Cercle vicieux.
Les océans sont des puits de carbone (= un réservoir naturel (forêt, océan, sol) qui absorbe plus de CO₂ qu'il n'en émet, aidant à réduire la concentration de gaz à effet de serre dans l'atmosphère) ESSENTIELS À LA LUTTE CONTRE LE RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE
Sur le graphique suivant, la courbe en noir est la température moyenne des océans en 2024. Nous sommes au dessus de toutes les années précédentes.
L’explication de tels événements pluvieux est la suivante : La température des océans et des mers étant très élevée, l’évaporation de l’eau est beaucoup plus intense ce qui crée des épisodes pluvieux intenses.
Actuellement 70% du territoire Français est sous la pluie et le chiffre énoncé est rocambolesque : 8 milliards de litre d’eau par minute tombe en ce moment sur le pays. Source : Keraunos.