que cela a existé On se met à la place de la victime, parce que c’est son point de vue qui est adopté -on saluera d’ailleurs le choix de cet angle scénaristique, car combien de fois leur parole a été occultée- et on ne peut s’empêcher d’être écœuré, parce que l’on sait, désormais,

les dégâts causés par les prédateurs sur les jeunes personnes. On sait que Vanessa n’y est pour rien, comme toutes les autres, Francesca, Flavie, Samantha, Charlotte, Victor, Andréa, n’y étaient pour rien non plus, mais qu’elles seules en subiront pourtant les conséquences.