Need pour chez moi

J'aime beaucoup ce nouvel arc de carrière post-Split où il devient un monstre physique aux muscles saillants dans le surjeu permanent.

Deux premiers tiers maîtrisés, tout en tension et en malaise, qui nous font nous poser mille questions sur notre rapport à l'insoutenable, avant une dernière partie presque bâclée, qui vire au grotesque. Heureusement, James McAvoy est parfait en mâle alpha toxique qui contamine tout ce qu'il touche.

J'ai un bon pote là-bas, je suis sûr qu'il aura plein de recos. Hugo alias @muso.tattoo sur Insta. www.instagram.com/muso.tattoo/

Ça fait partie du contrat, oui. Ça et jouer avec ses papattes.

Excellent ce site, je ne connaissais pas, merci !

Un film qui ose à de multiples niveaux (artistique et narratif) et qui réussit tout ce qu'il entreprend, notamment en nous offrant le meilleur chat animé de l'histoire du cinéma. Une pure fable qui n'hésite pas à piocher chez Fumito Ueda pour faire travailler à fond notre imaginaire. Pépite.

Les décors à l'aquarelle sont sublimes et l'animation faussement minimaliste confère un cachet indéniable à un film qui met beaucoup trop longtemps à poser ses enjeux. Qui plus est pour nous offrir une énième variation déjà vue sur le deuil et la peur de l'abandon.

Au niveau du jardin du carrousel, entre l'arc de Triomphe et les Tuileries, c'est parfait. Il y a même un peu d'herbe pour se poser en attendant.

On sait à quelle heure exactement elle s'élève ? Je compte y aller dimanche.