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Laure Dasinieres
@lauredasinieres.bsky.social
Journaliste Santé, psycho, genre et sexualité. Pige à Slate, Têtu·, Le Temps, Numerama, 360°, CNRS-Le Journal Iel/they/them linktr.ee/Laure.Dasinieres
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Daria Marx conclut: «Nous sommes régulièrement dénoncé·es, notamment à l'Ordre des médecins, mais nous avons pris le parti d'être en dehors des clous, voire hors-la-loi.» 👏

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À mon sens, au vu du poids des discriminations médicales (sexisme, racisme, homophobie, transphobie, grossophobie, validisme...), ça se défend

Il est également permis si tant est que «le traitement est nécessaire à l'exécution d'une mission d'intérêt public» et/ou qu'il est «nécessaire aux fins des intérêts légitimes poursuivis par le responsable du traitement ou par un tiers, à moins que ne prévalent les intérêts ou les libertés et droits fondamentaux de la personne concernée».
On peut alors imaginer que si une action en justice était menée contre une association référençant des médecins, et dans le cas où les médecins n'auraient pas consenti à être listés, il faudrait alors prouver l'intérêt général et légitime de ladite liste.
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