Bonjour !

Lisons bien le début du titre : Stop... ça change tout

Tout à fait. J'ai utilisé un fauteuil roulant à un moment de ma vie. Le regard des autres m'importait peu. C'est moi, dans ce fauteuil, qui me sentait mal. Maladroite et incapable.

Je ne me sens pas handicapée même si j'ai la RQTH. Je ne suis pas un être "cassable". L'invisibilité de mes soucis de santé, c'est ma propre invisibilité parce que je n'ai plus envie d'exister quand la souffrance est insupportable. Mais il existe des moments joyeux, fort heureusement.

Le comité médical a statué mon inaptitude aux fonctions enseignantes à cause de cette maladie orpheline. Je suis reclassée dans des secrétariats administratifs de l'Education nationale. Je ne demande pas d'aménagement de poste. J'utilise ma carte CMI si nécessaire. Et je pleure qd je craque

J'ai une pathologie rare depuis 9 ans avec douleurs chroniques ++ à vie. Je marche normalement. Mais quand je boitille, les réflexions fusent comme si j'avais un problème minime. Je dis que ce n'est rien mais je souffre comme une damnée. On ne peut pas percevoir ce que je ressens.

Il s'agit de 2 exemples donc pas de stéréotype propagé. C'est mal ? C'est grave ? Votre message est bizarre.

Je fais des cures de kétamine tous les 6 mois en hôpital de semaine. On est encadré au niveau médical car psychotrope fort. Ne rien tenter seul pour le reste, mieux vaut être accompagné. On ne connaît pas nos réactions. Je n'ai jamais rien essayé car trop fragile psychologiquement et pb de santé.

Quand j'étais jeune, une amie a pris 1 ecstasy lors d'une soirée : tremblements, crise de panique, convulsions. Direction les urgences. Ne pas essayer des substances comme celles-ci, et surtout pas le LSD : un copain s'est défenestré après en avoir pris (1e et dernière fois) 😪

Coucou Géraldine, bonjour du mardi :)