La reprise, c'est aussi s'atteler de nouveau à cette rédaction mise en suspens par les fêtes. Mission : se concentrer. Et puis soudain : tiens, mais je n'avais pas un acte du 14e s où on devait planter des arbres au bord d'une rivière ? Comment ça, ça n'a rien à voir avec l'article à finir ? Pfff...

Une très belle année 2024 à toutes et tous. Profitez des petites joies de la vie, engagez vous dans ce à quoi vous croyez, et surtout croyez en vous même ! Prenez soin de vous et de vos proches. Quant au monde, il sera ce qu'il sera et chacun de nous n'y peut pas grand chose...

Merci de ce retour. Passe de bonnes fêtes également !

qui permettent de l'atteindre et aboutir au sapin de Noël uniformisé qui peuplent nos salons chaque fin d'année. Voilà, ce calendrier de l'avent se termine. Merci à toutes et tous de l'avoir suivi et je vous souhaite d'agréables fêtes ! A très vite. 6/6

construit une image idéale du sapin de Noël, normalisant sa forme, ses proportions, sa couleur et son volume. Devant le succès rencontré, les pépiniéristes ont à leur tour cherché à reproduire cette image idéale, sélectionnant les espèces, recherchant et adoptant les procédés 5/6

Surtout, il montre comment les deux productions se sont influencées et ont abouti à faire de l'arbre de Noël un objet hybride, assez éloigné de son état naturel. En effet, si l'industrie de l'arbre artificiel s'est au départ inspirée des vrais arbres, elle a progressivement 4/6

Il montre les évolutions et les relations entre les deux modes de production, et s'interroge aussi sur une histoire culturelle du sapin de Noël qui a vu l'artificiel, érigé en symbole de modernité, prendre le dessus au cours des années 60, déstabilisant la filière naturelle 3/6

L'auteur y retrace l'histoire de la production et de la consommation d'arbres de Noël "naturels" et "artificiels" tout au long du XXe siècle dans un pays où la grande majorité des Américains optent pour un sapin artificiel. 2/6

Jour 24 du calendrier de l'avent Histoire environnementale qui finit sur un petit clin d'œil qui permettra d'alimenter vos discussions de fin de réveillon, avec cette thèse inédite d'Aaron Thomas sur l'histoire environnementale du sapin de Noël aux États-Unis 1/6

C'est parce que l'eau qui alimente Paris vient de très loin !