Gisèle Pélicot acceptait de renoncer à sa dignité pour montrer la réalité des sévices qu'elle a subis. Le tribunal a préféré les cacher pour protéger la dignité de ses agresseurs. Immense colère.
Elle n'a absolument pas "renoncé à sa dignité", au contraire même. Les mots sont importants.
Donc si j'ai bien compris, le juge peut aller contre la volonté de la victime sous le prétexte qu'elle était sous l'emprise de stupéfiants au moment des viols ? C'est assez bizarre comme raison non ?
La bonne présentation des faits et du choix de Gisèle Pélicot est dans La Croix. www.la-croix.com/france/viols...
Plutôt sa pudeur non. Et ses attaquants n’ont plus aucune dignité à protéger. Les juges en revanche ne sont pas net, comme s’ils se sentaient solidaires des criminels.
Elle a renoncé à sa dignité ? Une piste pour vous aider bsky.app/profile/laur...
Not all men but all men quand même.