Si. Ils font du profit sur un objet intellectuel en limitant, souvent par intimidation, la diffusion directe via les archives ouvertes, par exemple dans des pays qui n'auront jamais les moyens d'acheter les livres. Mais c'est un très vaste débat.
Obligeant les moteurs de recherche a repasser n. fois sur les documents explosant ainsi le coût écologique du traitement. Et encore, avec isidore on essaye de limiter les choses.
“In the screech of neon lights”, Paris, sept. 2024. lfi-online.de/en/gallery/S...
In the screech of neon lights by Stephane Pouyllau:
J'imagine bien. Au moins c'est une approche claire du "close access".
Je crois pas. Mais certains oui et bibi doit aller dans un indexe de 6,2 millions de documents et de 134 millions de métadonnées effacer les traces d'un dépôt dans theses.hal.science.
Surtout le dernier point ! Passé une partie de mon dimanche à retirer au compte-fil des thèses de isidore.science (5 thèses sur 6 millions de documents 🤪) à la demande de docteur·e·s inquiet·e·s ayant fait œuvre de générosité et se ravisant en urgence sous la pression d'éditeurs.
📸 « Les amoureux de République », Paris, 7 juillet 2024. Que reste-il de leur moment ? Que reste de ce moment ? Rien, sauf ces quelques centièmes de seconde. www.flickr.com/photos/19344...#législatives2024#PlaceDeLaRépublique#StreetPhotography
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Belle ambiance de “dimanches à 15h qui sont déjà des lundis”.