C'est ça en permanence. Tu passes des milliers d'heures sur le terrain à collecter des infos et des données, personne n'en tient compte. L'intime conviction d'un riverain qui reconnaît n'avoir rien vu pèsera plus lourd, et même on nous dira que c'est nous qui ne sommes jamais sur le terrain.

Oh je sais. Ça me fout en l'air.

Pour ce genre de cas, y a-t-il des données simples et accessibles qui peuvent « disculper » le loup ? Surveillance des aires de répartition, particularités du mode opératoire, par ex ? Le village de mes parents est à côté de celui cité dans l’article, je me prépare à être l’avocat du loup à Noël…