Castrovalva (6) Des débuts plus hésitants, mais où l'enthousiasme et la vulnérabilité du Docteur de Davison tranchent tout de suite avec un monde impossible et cauchemardesque.
Logopolis (9) Une histoire mélancolique d’entropie dévastatrice et de fantômes qui veillent les vivants, qui, si elle part pourtant d’équations mathématiques complexes, reste toujours très puissante.
The Keeper of Traken (8) C'est un paradis corrompu où chaque faille, et chaque déchirure intime, sont une opportunité de plus pour que le mal et le chaos s'immiscent. Mais le pire du coup c'est qu'un monde aussi "pacifié" contient aussi les germes de sa propre destruction
Warrior's Gate (10) Une éternité passe, et toute l’Histoire devient poussière, mais un guerrier déchu erre entre ses morceaux et dans un épisode d’une hallucinante beauté il affronte finalement l’oppression.
State of Decay (8) State of Decay a plus qu’un village poussiéreux et son château rempli de vampires, il brasse deux époques et il en tire un monde féodal mourant et sinistre
Full Circle (9) Smith, il a seulement 17 ans, pourtant il réussit à faire rentrer la série dans la modernité avec un script plein de magie et d’instants franchement évocateurs. Certes, la brume tombe, mais ce Doctor Who là est absolument brillant.
Meglos (4) Baker se balade en cactus, mais comme franchement le ton est bizarre, la production très ambitieuse a encore l’air trop en décalage avec les scripts qu’elle offre.
The Leisure Hive (3) On prend une histoire de la saison d’avant, sauf que pour marquer le changement radical (mais nécessaire) d’approche, on lui enlève aussi tout son sens de l’humour. Du coup l’ensemble est bizarre, et pas forcément réussi. Mais c’est un pas en avant.
Shada (7) Un final à moitié existant, qui s'il aurait pu au moins conclure sur une note très agréable une ère parfois assez difficile, célèbre quand même tout ce qu’elle a de plus attachant quand il existe.
The Horns of Nimon (3) Graham Crowden s’éclate tellement en Soldeed que même si le naufrage est spectaculaire, chacune de ses apparitions est au moins un vrai délice.