Le plus blessant dans la sortie ministérielle est ce portrait en creux de l’école publique : nos élèves n’y seraient ni heureux, ni formés, ni en sécurité. L’école publique serait celle du malheur. Qui a abandonné nos élèves, Madame la Ministre ? Pas moi.
Ah, non, c'est à Stanislas que les élèves sont malheureux. C'est un établissement d'élite connu pour mettre beaucoup de pression aux gosses, il vaut mieux surveiller si ses gosses sont heureux, quand on les met là-bas. Ils ont aussi des problèmes de sécurité : www.la-croix.com/Famille/resp...
Les ministres devraient avoir interdiction d'avoir recours au privé quand une alternative publique existe, ça les obligerait à l'améliorer Je parle aussi bien pour l'école que pour la santé, peut-être que ces vieux boomers se sentiraient concernés par l'hôpital public
En l’écoutant, je pensais aux enseignants qui font tout ce qu’ils peuvent et le plus souvent le font bien. Mais bon. Ça démarre sur les chapeaux de roue.