Et notamment une contribution d HervĂ© Leuwers sur l un des rares rĂšglement intĂ©rieur dâun barreau sous l Ancien RĂ©gime.
TrĂšs interessant ouvrage avec plusieurs contributions historiques autour dâun texte ou d une image.
Le dernier Titwane est sorti ⊠comme les prĂ©cĂ©dents, une trĂšs belle rĂ©ussite en totale immersion dans le monde(trĂšs) secret des SNLE âŠ.
et ce, mĂȘme si elle dĂ©coulait d'un engagement pris pendant lesdites opĂ©rations et mentionnĂ© au PV (on notera que c'est la Cour qui a du soulever d'office ce problĂšme...).
Rendu le mĂȘme jour l'arrĂȘt "OUP" : la remise volontaire de fichiers APRES la fin des opĂ©rations de visites et saisies ne relĂšve pas du rĂ©gime desdites opĂ©rations (ça allait un peu de soi ...) www.courdecassation.fr/decision/66f...
Bref, c'est carré, rien à dire et il ne fallait pas s'attendre à ce que la chambre criminelle vienne sauver ce qui relÚve, le cas échéant, d'un oubli du législateur (mais l'a t'on demandé ?).
.... l'article 56-1-1 ne s'y applique pas non plus : ici aussi c'est logique faute d'avoir prévu in fine que les dispositions de cet article étaient également applicables aux perquisitions ou visites domiciliaires effectuées sur le fondement d'autres dispositions.
La chambre criminelle considÚre en effet que l'article 56-1 ne s'applique pas dans un tel cas (logique, ce n'est pas une opération de visites et saisies en cabinet d'avocats) mais également que ....
IntĂ©ressant arrĂȘt de la Chambre criminelle de ce jour au sujet d'opĂ©rations de visites et saisies dans les locaux d'une entreprise (donc pas dans un cabinet d'avocats) www.courdecassation.fr/decision/66f...